Je te reconnais
Et ce sont mes mots
Dans ton regard, nulle lie
Même ainsi, sans parole
J'ai compris l'ombre et ta vie
Maux de l'âme en dérive
Si tu souhaites aimer encore
Folle envie d'être là, tout près...
Dis, tu veux donc t'émerveiller un peu ?
Rive de l'enchantement, ton sourire
Fort des larmes de vaillance, je rêve
C'est fou mais j'y crois très fort, vois-tu ?
Mieux t'aimer, te prendre dans mes bras
Mire toi dans le fond de mes yeux, lumière
Sève de mon affection, pure de ce que tu es
Mûe par ton amour ! Te connaissais-tu bien ?
Bien à nous…
Christina Goh
Ce poème est un poème à étages. Deux types de lectures sont donc possibles.