J’ai plongé dans une mer tourmentée
Assombrie des frustrations les plus austères
Aux vagues implacables, lourdes des culpabilités
Aux écumes amères de nostalgies brumeuses
Y flottaient des résidus sanglants, désirs ocres
d'influences. Fracas des marées de vengeances
Flots sirupeux, sonores. Le souffle presque coupé
J’ai pu ressortir avec toi
Amour !
Nous coulions.
Confiance voulue coite
A ne vouloir exister que pour chérir
A la bravoure, au risque naïf du présent
Souffle presque coupé ?
A l’aube, nous voilà pourtant
Bien vivants sur le sable rose qui se dore
Celui qui enraie la machine de l'âcreté
Nous respirons encore et le bleu à l’âme s’efface
Pour l’infini du ciel, celui qui renvoie à nos mers
Intérieures, étincelantes d’un espoir joyeux
Illuminant jusqu’à nos yeux devenus espiègles
Amour en moi ! Tu ris !
Amour !
Christina Goh
A ne vouloir exister que pour chérir
A la bravoure, au risque naïf du présent
Souffle presque coupé ?
A l’aube, nous voilà pourtant
Bien vivants sur le sable rose qui se dore
Celui qui enraie la machine de l'âcreté
Nous respirons encore et le bleu à l’âme s’efface
Pour l’infini du ciel, celui qui renvoie à nos mers
Intérieures, étincelantes d’un espoir joyeux
Illuminant jusqu’à nos yeux devenus espiègles
Amour en moi ! Tu ris !
Amour !
Christina Goh
