Quand tout repose sur du vent
Nul besoin de chercher un appui
Ne cherche plus une épaule amie
ll faut retourner aux genèses
Sans trembler, relire les pages
Suie du cœur à effacer entre les lignes
Cri ou Illusion, au bout des comptes
Taisent les bonnes volontés passées
Cage fabriquée en vain pour humilier
Digne, naturel gagne, préserve
Refonte de l’or échangé et perdu
Effacer navrement, amertume passe
Concilier âme et essence, mon cœur
Réserve ma joie pour la route du péril
Suspendu, mon souffle à mes ailes
Masse si légère ! Je t’aime la Reine
Bonté Reine.
Christina Goh
Ce poème est un poème à étages. Deux types de lectures sont donc possibles : deux poèmes en un.